Revaloriser le patrimoine
Revaloriser le patrimoine régional et national
Développer le dialogue
Développer le dialogue interculturel (rencontres, séminaires , débats)
Faire connaître
Faire connaître ce patrimoine par la diffusion de recueils, de CDROMS et de la création de site
Promouvoir la recherche
Promouvoir la recherche scientifique dans ce domaine par la création d’une revue spécialisée
L’association OCADD, créée à BENI MELLAL, le 15/10/2005 s’est fixée comme objectifs majeurs la préservation et la revitalisation du patrimoine immatériel et matériel de la région Tadla-Azilal. Le patrimoine immatériel pourrait être défini comme l’ensemble des manifestations culturelles, traditionnelles et populaires, à savoir les créations collectives, émanant d’une communauté fondée sur la tradition. Elles sont transmises oralement ou par des gestes et sont modifiées à travers le temps et l’espace par un processus de recréation collective.En font partie les traditions orales, les coutumes, les langues, la musique, la danse, les rituels, les festivités…
Bureau de Rabat-Salé-Kénitra
Bureau de Beni Mellal - Khenifra
Votre Bureau
Nos dernières nouvelles
Mission
Valeurs
Vision
Sauvegarder le patrimoine immatériel
La principale vocation de l’association OCADD est de sauvegarder ce patrimoine immatériel, de le diffuser, de le revaloriser et partant en faire un levier pour le développement durable.
Protéger , Revaloriser le patrimoine immatériel
La protection et la revalorisation de ce patrimoine immatériel et matériel est importante pour développer l’estime de soi et le sentiment de solidarité, consolider son identité pour aboutir d’une part à la réconciliation avec soi-même et au dialogue interculturel avec l’Autre, et d’autre part au renforcement du sentiment d’appartenance.
ANS D'EXPÉRIENCE
FESTIVALS
PUBLICATIONS
La collecte du patrimoine culturel
Un long travail de recherche et d’investigation entrepris par l’association, dans le cadre de ses projets, sur la fonction et les diverses expressions et pratiques culturelles, vise la collecte du patrimoine culturel, sa valorisation, sa vulgarisation.
Regarder la vidéo
L’association Ocadd Peut-elle encadrer des stagiaires et des étudiants ?
L’association Ocadd peut-elle partager ses publications ?
L’association travaille-t-elle avec des associations et organismes étrangers ?
Tout à fait, Ocadd a réalisé des projets avec des associations étrangères. Nous citons à titre d’exemple : « Dyade » à Grenoble, « De-ci, Dela » à Paris, « les Tisseurs de contes » à Rennes. Nous – Ocadd et Dyade- avons aussi réalisé un projet sur les chants populaires de la région Tadla-Azilal, dans le cadre de la coopération décentralisée entre Cette région et le conseil général de l’Isère.
L’association Ocadd peut-elle se déplacer pour réaliser des enregistrements audio ou vidéo des genres oraux : contes, chants, Poésie populaires ?
Ils parlent de nous
Nous tenons à remercier nos partenaires aussi bien étatiques et associatifs que particuliers, au Maroc et à l’étranger. Nous sommes très honorés par leurs témoignages sincères et restons, dans OCADD, ouverts à d’autres initiatives.
Depuis 2008, j’ai eu la chance de nouer des partenariats et travailler avec l’association OCCAD (Oralité, Contes pour l'amitié, le Dialogue et le Développement) à Beni Mellal. Tout d’abord dans le cadre de mes fonctions de responsable des relations internationales du Département de l’Isère en France. Cette Collaboration fut très fructueuse par ses résultats ainsi que la capacité de pérennisation des projets.
Amar THIOUNE
Chercheur en sciences politiquesLes objectifs fixés ont été atteints grâce au professionnalisme des équipes d’OCCAD et leur rigueur intellectuelle et scientifique. Par ailleurs, en tant que responsable des Cabinets de Conseil international OZ Business et Ineditforce, nous avons également pu constater le sérieux et la constance avec laquelle OCCAD mène ses projets de coopération internationale mais également de développement du territoire.
Amar THIOUNE
Chercheur en sciences politiquesLe colloque « Guerre, Imaginaire et Dépassement »qui s’est tenu à Beni-Mellal en 2010, a réuni une kyrielle de chercheurs venant de plusieurs universités nationales et internationales, sous la direction de l’association Ocadd. Face à l’explosion de violence que constitue la guerre, le colloque a apporté une contribution interdisciplinaire et multidisciplinaire à la question de la guerre entre le passé et le présent, dans la littérature comme dans l’Histoire, la religion, etc. Des interventions de grande qualité intellectuelle, extraites des gisements du savoir ont étudié la tragédie, la souffrance, la colonisation, la haine, mais aussi la réconciliation dans l’urgence de vivre en paix. Plus que jamais, la question de pouvoir vivre ensemble dans la paix et l’entente entre les peuples reste d’actualité, surtout qu’il est de plus en plus question de guerres infinies, particulièrement au Moyen-Orient. Reste à remercier une équipe soudée, empathique, qui a rendu notre séjour agréable, avec des sorties et des visites de cette belle région du Maroc. Ce colloque a été suivi en 2013 d’un autre sur « la littérature carcérale », à l’Université Libanaise, et en 2015 sur « Les enfants et la guerre » à l’Université de Tlemcen.